Isiltasunaren gerraostetik gerrari buruzko autobiografiara
DOI :
https://doi.org/10.59866/eia.v2i54.229Mots-clés :
silence, plainte, assassinat, fait, réel, testimony, autobiographyRésumé
Le retentissement qu’a suscité la Guerre Civile (1936-1939) est étudié dans la production narrative durant le quart de siècle suivant sa fin. Suite à une brève analyse de « loretxo » (1937) de Mendi-lauta (pseudonyme d’Antonio Arruti), publié en pleine guerre, on constate la disparition de toute manifestation littéraire en basque dans l’après-guerre immédiate, jusqu’à sa récupération de la main d’écrivains exilés. on examine les textes narratifs qui situent les événements narrés à un moment de la Guerre Civile ou qui relatent desévénements provoqués par elle : Bizia garratza da (Buenos aires, 1950) de Jon Andoni Irazusta ; Laztantxu eta Betargi (Baiona, 1957) et « Gizerailtza » (Caracas, 1961) de Martin Ugalde. enfin, le récit autobiographique Neronek tirako nizkin (Donostia, 1964) de Sebastián Salaverria, remémore ses expériences dans la lutte: le premier quart de siècle s’est déjà écoulé quand le premier récit publié au Pays Basque péninsulaire qui aborde les événements de la Guerre Civile voit le jour.