Piarres Larzabalen antzertiaren harrera hego Euskal Herrian
DOI :
https://doi.org/10.59866/eia.v60i2.133Mots-clés :
littérature, théâtre, accueil du Théâtre Basque,, Théâtre Basque, pastorales, Piarres LarzabalRésumé
Après quelques informations sur la vie de Piarres Larzabal (Ascain 1915–Socoa 1988), on a expliqué comment quelques auteurs ont classifié son théâtre (Xarritton, 1984 ; Etxe-berria, 2008). L’auteur évoque ensuite la publication des différentes éditions des oeuvres de Larzabal. Comment elles furent adaptées du dialecte labourdin au dialecte guipuzcoan par Manuel Lekuona et Luis Villasante. Il explique aussi, mises à part les compagnies théâtrales labourdines, comment ses oeuvres furent accueillies par les différentes compagnies guipuzcoanes (celle d’Ordizia, Eusko Iztundea et Jarrai de Saint-Sébastien, Allerru de Lezo, Goaz de Deba...) et plus particulièrement la compagnie Intxixu d’Oiartzun, qui fit une adaptation de sa nouvelle pastorale. Quoi qu’il en soit, on peut considérer, étant donné le nombre d’éditions et le succès du spectacle, que Matalas a atteint le sommet du succès. Dans ce drame historique Larzabal s’identifie à Matalas. Le curé qui affronte sa hiérarchie, la voix du peuple qui fait face à la violence et à l’injustice du pouvoir.